Les jeux vidéos se sont enrichis. Ils font désormais appel à de nombreuses et indispensables compétences : agilité, prise de décision en situation de stress, capacité à coordonner une action à plusieurs, communication à distance, management, etc.
Par-dessus tout, ils encouragent les jeunes à s’entraîner et à persévérer, faire et refaire tant que l’objectif fixé n’est pas atteint. Nous sommes loin de l’image du jeune fainéant affalé devant la télévision.
S’ils sont pratiqués dans de bonnes conditions, l’intérêt des jeux vidéos sur le développement et la formation des jeunes, au moment où leur cerveau
(matière grise) s’enrichit et se développe, est indiscutable. On est passé du pédagogique ennuyeux au pédagogique ludique. On a franchi la frontière de « l’apprentissage bête et inutile » à « l’acquisition de compétences et connaissances capitalisables et mobilisables pour toute la vie ».